Après Paris, Marseille, Lyon et Istanbul, la tribu Mama Shelter a posé
ses valises à Bordeaux, le port de la
Lune.. .
Situé sur la place Saint
Cristoly dans l'ancienne tour EDF-GDF, le Mama shelter prend vie dans ce
bâtiment des années 30 qui fugure an rang du patrimoine immobilier du XXème
siècle, avec sa tour d'angle qui domine la ville du haut de ses 47 mètres.
Ses fondateurs (la famille
Trigano, co-fondatrice du Club Med, et Philippe Starck) l’avaient affirmé dès
2008, lors de l’ouverture du premier Mama Shelter à Paris : ils poseraient des MAMA
là où s’écrit une histoire singulière du monde.
Revendiquant la liberté de ne
choisir que par coups de coeur, ils ont à nouveau trouvé une ville où créer
leur 5ème Mama qui sera aussi atypique, excentrique, participatif et unique que
les précédents. Une ville capable d’accueillir leur rêve d’hospitalité
généreuse et débordante. Une ville qui tout en glorifiant en son sein l’héritage
de la vigne, tourne résolument son âme vers la mer et l’ailleurs. Une ville où
faire vivre leur idéal d’humanité apaisée.
Le Port de la Lune marche sereinement vers
la plénitude. Capitale de la
Gironde , capitale mondiale du vin, à seulement 40 minutes des
plages de l’Atlantique, Bordeaux incarne cet idéal urbain de mixité et d’énergie,
cher aux membres de la tribu Mama Shelter.
Inscrite sur la liste du
patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2007, elle compte parmi les plus
splendides réminiscences du XVIIIème siècle européen et attire par son
dynamisme toujours plus de touristes, d’étudiants et d’entreprises.
C’est donc ici que Serge, Jérémie
et Benjamin Trigano, Philippe Starck et Michel Reybier installent la cinquième déclinaison
de leur concept de lieu de vie pluriel, dans un édifice qui, comme une
évidence, prend la forme d’un véritable phare.
Située sur la place Saint
Christoly, dans l’hyper-centre historique, l’ancienne Tour du Gaz, ne pouvait
rêver meilleure renaissance que celle-ci. Avec sa tour d’angle qui domine la
ville du haut de ses 47 mètres et son allure progressiste, ce bâtiment qui figure
au rang du patrimoine immobilier du XXème siècle, était considéré comme un OVNI
au moment de sa construction en 1934 par l’architecte Raoul Jourde. Aussi
transgressif, original et novateur en son temps, que le Mama Shelter l’est
aujourd’hui, il accueille désormais restaurant, pizzeria, bar à cocktails et
bar à vins, deux Ateliers (salles de travail) et 97 chambres. Dès l’été
prochain, le roof top permettra de dîner ou
boire un verre tout en laissant voguer ses yeux sur la mer des toits de tuiles bordelais.
Dans la lignée des autres MAMA, l’architecture
et le design incarnent cette valeur chère aux fondateurs : l’hospitalité. A
nouveau, s’opère ce rêve fou de créer un lieu de vie à l’atmosphère unique, qui
ne soit pas une simple résidence mais une place de village, un véritable
«kibboutz urbain» tissé de rencontres, d’échanges, de liberté, de vibrations,
de pétillements et d’émotions.
A l’extérieur, Laurent Portejoie
de l’Atelier King Kong à l’oeuvre du remaniement architectural, a respecté les particularités
du projet d’origine, notamment dans l’écriture des façades. A l’intérieur, Philippe Starck
opère cette théâtralisation à géométrie variable, réjouissant bazar organisé,
euphorique et ludique, qui décrit bien mieux que des mots la générosité avec
laquelle il a inventé ce lieu : «Mama Shelter c’est la liberté, la rencontre, l’intelligence,
la construction, la sensualité... abordable à tous, trans-social,
transethnique, trans-culturel Mama est une diagonale dont Bordeaux sera l’échiquier.».
L’ambition est d’accueillir et rassembler. MAMA offre son amour sans compter, tout en abondance et
extravagance. Au rez-de chaussée, atmosphères et scénarios d’usage se
succèdent, pour écrire cette folie orchestrée qui submerge immédiatement chaque
personne poussant la porte du MAMA, et l’invite à vivre l’expérience : boutique
décalée, babyfoot géant, scène «live» avec instruments de musique du monde
entier suspendus, tables d’hôtes éclairées par des bouées lumineuses totalement
régressives et séances de video-shoot déjantées.
La réception, le restaurant, les
bars, la pizzeria et le show-kitchen forment un espace accueillant, multiple et
ouvert, pour que tous se réunissent et se retrouvent. Sans frontières, sans
préjugés, chacun avec sa personnalité, son parcours, son excentricité, les
habitants des quartiers alentours partageant leur table, leur plat, un verre,
leurs histoires, un moment de vie. Au sous-sol, le Mama’s Ping-Pong
Club propose de prolonger cette expérience de partage au cours d’une partie endiablée.
Sur 5 étages, les 97 chambres
minimales et connectées jouent la carte d’un confort maximal, avec une literie 5
étoiles et des draps de coton dans un décor relevé par des codes devenus
identitaires : moquette imprimée, masques cartoons, jeux de miroirs et têtes de
lit lumineuses.
Le choix des couleurs, des
matériaux, les détails racontent ce sens de l’accueil bienveillant et écrivent
cette idée d’abri, de «shelter». Proposer un refuge contre les agressions du
monde extérieur, confortable, chaleureux et réconfortant, autant que vivant,
joyeux et bienheureux, telle est l’ambition de Mama.
La connectivité est le besoin
primordial des voyageurs du XXIème siècle. Chaque chambre est donc équipée d’un
Imac 27 pouces qui centralise Internet, télévision, radio et ordinateur, qui
permet de connecter ses propres «devices» pour visionner ses contenus et qui
propose un service de VOD gratuite, même pour les films coquins.
Chaque détail compte et tout n’est
qu’attentions. Dans la salle de bain aussi MAMA prend soin de vous. Dans la
gamme exclusive MAMA SKIN, développée en collaboration avec la marque de
cosmétiques bio Absolution, le savon 99% naturel et 73% bio, vient de rejoindre
le All In One, gel lavant pour le visage, le corps et les cheveux.
Au restaurant, Jérôme Banctel et
Alain Senderens restent maîtres d’une carte simple et savoureuse, qui trouve du
relief avec des clins d’oeil aux spécialités locales, dont les maîtres mots
restent qualité et générosité. Tout est fait sur place, à la main, avec amour
forcément.
La pizzeria offre une déclinaison
savoureuse de ce savoir-faire, accessible aux plus petits budgets. Enfin,
exception bordelaise oblige, un bar à vins propose une sélection de vins au
verre, à choisir parmi une carte d’une soixantaine de crus locaux ou plus
lointains.
Deux Ateliers (salles de travail)
permettent d’accueillir les groupes dans des espaces atypiques qui revendiquent haut et fort les valeurs MAMA :
convivialité, chaleur, esprit de famille, partage et jeu. La première est une
petite cabane nichée au coeur de la cour de la Tour du Gaz. La seconde, posée sur le roof-top
surplombe les toits de Bordeaux et offre une vue panoramique imprenable sur
toute la ville.
Pour ce 5ème opus, même les
uniformes ont été repensés. Concept exclusif développé par Andrea Crews pour Mama
Shelter, des écussons tissés en France égrènent les messages de la MAMA sur chaque tablier,
comme autant de mantras qui incarnent ce sens unique de l’hospitalité. L’équipe
est à l’image de MAMA. Chaque uniforme se devait donc d’être une pièce unique,
comme un écho de la personnalité et la singularité de chacun, pour illustrer ce
supplément d’âme qui caractérise l’expérience MAMA.
C’est ainsi et ici que commence
une nouvelle histoire qui devrait de nouveau faire bouger les lignes d’un
quartier de la ville à redécouvrir, et permettre aux riverains autant qu’aux voyageurs
de tisser des liens et de partager leurs rêves de bateaux qui s’en vont vers l’avenir.
Informations : Mama Shelter
Bordeaux 19, rue Poquelin Molière 33000 Bordeaux, tél. +33 (0) 5 57 30 45 45 - mamashelter
.com
Credit photo Francis Amiand
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