Dès les années cinquante, la Reine Juliana des Pays-Bas inaugura une forme de
tradition royale au Savoie en y séjournant quelques jours pour s’adonner aux
plaisirs du ski en compagnie de la haute bourgeoisie parisienne ou de grands
industriels…
Une tradition qui se poursuit
aujourd’hui avec la venue régulière de princesses, de têtes couronnées et de
nombreux chefs d’entreprise qui se retrouvent à Val d’Isère pour profiter de tous
les charmes incomparables de la station savoyarde.
Un destin royal et une prestigieuse clientèle…
Plus que tout, ces personnalités
apprécient la luxueuse simplicité de l’Hôtel Le Savoie, son élégance discrète
et le sentiment d’être un peu chez soi.
La renaissance du Savoie perpétue
la tradition de la
famille Giraud qui, depuis quatre générations et plus d’un
siècle, entretient un savoir-faire dans le domaine de l’accueil, de la
restauration et de l’hôtellerie dans la région, à l’image du grand-père,
Johannes Giraud, inventeur de la sauce Nantua.
Une nouvelle étape de la success-story familiale des Giraud…
Contrairement à de nombreuses
stations de ski, Val d’Isère a su conserver l’âme authentique d’un village de
montagne, privilégiant le respect de l’héritage architectural local, l’utilisation
harmonieuse de la pierre et du bois et la maîtrise d’un développement
raisonnable.
On vient à Val d’Isère pour
retrouver l’essence même de la montagne et pour pratiquer le plus beau ski du
monde. En effet, grâce à sa situation exceptionnelle à 1850 mètres d’altitude,
Val d’Isère est blanchi de novembre à mai d’une poudreuse légère et abondante
jusqu’à 3400 mètres
au gré de ses 300
kilomètres de pistes. Une clientèle internationale se
retrouve ainsi au confluent de majestueux massifs pour profiter de toutes les
glisses, dans un espace sauvage où la modernité des installations a fait
disparaître les indésirables attentes au pied des remontées mécaniques.
Toute l’élégante simplicité de
l’Hôtel Le Savoie est le reflet de cet état d’esprit avalin : on ne fait bien
les choses qu’en respectant la beauté et les valeurs de la montagne. Le Savoie
est donc à sa place au coeur du village, inondé du soleil qui voyage entre les
sources de l’Isère et le massif olympique de Bellevarde. Le mariage réussi du
luxe et de la simplicité au coeur de Val d’Isère
Cette situation privilégiée, à
quelques mètres des pistes, est la porte d’entrée dans un univers hôtelier
différent, où s’exprime tout le talent de Jean-Michel De Ambroggio. Inspiré par
les bases de l’architecture traditionnelle savoyarde, le décorateur lyonnais
s’est appuyé sur des matériaux nobles et naturels pour traduire le côté
authentique de la montagne tout en y associant des interprétations subtiles et
originales. Bois, pierres, ardoises, verres et enduits ont ainsi été travaillés
de manière contemporaine, mêlant tradition et création.
Jusque dans les salles de bain,
seuls des matériaux locaux ont été utilisés : la pierre, le bois (chêne, mélèze
et sapin), le métal et la lauze. La plupart des travaux ont été confiés à des
artisans de la région. Les tapis de cuir ou de laine
tissés qui habillent les murs sont un clin d’oeil aux filatures qui font partie
de l’histoire de la
Savoie. Plus glacé, un luminaire au-dessus du bar signé par
De Ambroggio réinterprète les stalactites, en détournant des lames de verre
coupé alors qu’un mur de la véranda a été travaillé pour donner l’image d’une
banquise qui se morcelle.
Des pans de murs aux coloris
chaleureux (rouge, bleu turquoise…) se marient avec des boiseries en chêne,
rompant ainsi avec les codes habituels de l’hôtellerie de montagne tout en glissant
sur quelques murs la trace manuscrite de vieux proverbes régionaux. Les coins
salons offrent une ambiance feutrée et raffinée pour une impression d’intimité
et de chaleur au coin du feu, capable de recréer ce cocon familial et personnel
très cher aux propriétaires. En mélangeant les fauteuils clubs et les canapés
cossus, les interventions d’artistes et les beaux tissus, Jean-Michel De
Ambroggio a ajouté le confort au bien-être, souhaitant que « partout où se pose
notre regard, il se passe quelque chose d’agréable ».
Tous les plaisirs de la table…
Il est né et a grandi dans les
cuisines de son père, restaurateur à Givry (Bourgogne), aux côtés de sa
grand-mère qui concoctait les plus belles recettes traditionnelles de la
cuisine bourguignonne. Il a ensuite fait ses classes aux côtés de Marc Menaud
et Vincent David (3 étoiles au Guide Michelin), puis chez Jacques Lameloise (3
étoiles), avant d’être second chez Bérard (1 étoile). Alexandre Fabris a
également évolué dans de prestigieux palaces, dont le Grand Hôtel du Cap
Ferrat. Il n’est pas étonnant, dès lors, que ce jeune surdoué veuille revisiter
les plus belles recettes de nos grand-mères en leur apportant tout le luxe
d’une cuisine gastronomique exclusive.
Avec beaucoup d’amour et de
respect pour le produit et les saisons, Alexandre Fabris, 28 ans, réussit à
anoblir les recettes d’antan, à surprendre, à revisiter pour mieux redécouvrir les
recettes traditionnelles. En phase avec son temps et avec chaque saison, il
travaille les légumes d’hiver (racines de persil, rutabaga, salsifi s, pommes
Vitellote) et adore cuisiner des recettes qui demandent un temps très long de préparation,
comme le boeuf bourguignon, les oeufs en meurette servis avec un croustillant de
queue de boeuf (cuisson de 8 heures 30 !), la selle d’agneau au foin cuite dans
un pain blanc au froment, le pot au feu de foie gras servi avec un bouillon de
canard et des crosnes au jus de truffe... En associant des produits très raffinés
aux plus grands plats de la gastronomie française, le chef du Savoie a trouvé
la recette magique qui marie l’exception à la tradition.
Informations :
Hôtel Le Savoie, Avenue Olympique - 73150 Val d’Isère, tél. +33 (0)4 79 00 01
15 - www.lesavoie.com - Ouvert
exclusivement durant la période d’hiver.
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