Niché dans la
rue Paul Baudry , en retrait de l’agitation des Champs Elysées
pourtant tout proches, Le Marianne est un Hôtel qui prend le contrepied des
établissements parisiens en proposant à ses hôtes un séjour sur le ton de la
confidence…
Dans un décor qui efface
subtilement les signes évidents de l’hôtellerie, Le Marianne s’affirme comme
une adresse aux airs de demeure particulière. Loin des hôtels à thème dont les
capitales regorgent, Le Marianne se veut un refuge apaisant et raffiné, une
adresse où l’art rejoint l’Art de vivre. Prenant place dans= un immeuble
haussmannien réhabilité par l’architecte Vincent Bastie et décor par Charles
Zana qui signe là son premier projet hôtelier.
Le Marianne reflète le talent de
ce dernier pour orchestrer des lieux de vie dans lesquels on se sent accueilli
comme chez soi. Et c’est là, le signe distinctif de cet Hôtel : cette capacité immédiate
à créer une atmosphère chaleureuse et authentique, où l’élégance du décor n’a d’égale
que le raffinement et la qualité des services.
Une vision renouvelée du « boutique hôtel »…
Bénéficiant d’une situation
idéale dans Paris, à deux pas des Champs Elysées, du faubourg Saint-Honoré et
de l’avenue Montaigne. Le Marianne incarne une vision renouvelée du « boutique
hôtel ». Avec des prestations et des services quatre étoiles, ici le décor ne
prend jamais le pas sur le bien-être des hôtes. Tout a été pensé pour offrir
une adresse cosy, élégante, raffinée et calme, caractéristique d’une demeure particulière.
Là, c’est le client qui écrit le
scénario de son séjour. Dès l’entrée, le ton est donné. C’est vers le plafond
que le regard se dirige pour découvrir un majestueux lustre en laiton doré de l’artiste
Johana Grawunder. À gauche, la banque d’accueil en marbre Pozzano s’illumine
sur son pan arrière d’une maille dorée réalisée par Sophie Mallebranche. À
droite, le lobby est mis en scène dans des tons sobres qui mélangent le gris
anthracite, le blanc et le céladon. Tout ici a été conçu par Charles Zana : la
console en marbre et laiton, les fauteuils, la bibliothèque murale ainsi que le
miroir accroché au-dessus de la cheminée centrale, autant d’occasions pour l’architecte
d’intérieur de rendre hommage aux grands maîtres du design italien dont il est
un grand expert. Sur l’un des murs, est accrochée une des oeuvres issues de la
collection personnelle du propriétaire, une toile de l’artiste Bernard Frize,
bel hommage à l’art contemporain.
Dans la continuité du lobby, le
coin petit déjeuner s’ouvre sur un patio arboré et son puits de lumière. Une
sensation de confort immédiate que l’on retrouve dans les chambres. Toutes ont été conçues comme des cocons, de
véritables petits espaces de vie aux finitions parfaites et aux matériaux
précieux et nobles. Toutes proposent des ambiances complémentaires où les cuirs
et les velours se déclinent dans des camaïeux de bleu pétrole et de moutarde
afin de contraster avec les couleurs sobres des murs. Au sol, un parquet
finement veiné de gris, un tapis ourlant le lit. Aux fenêtres, on remarque les
rideaux avec leur dégradé un ensemble salon composé d’un guéridon, d’un
fauteuil club cosy, et d’un pouf en cuir serti de laiton.
Tout permet ainsi aux hôtes de
prévoir différentes utilisations : séance de travail pour les hommes d’affaires
ou détente dans une lumière douce offrant une parenthèse à l’agitation
parisienne. Enfin, les chambres offrent la technologie Airplay ,
qui permet de connecter en Bluetooth les TV et les données des smartphones
(musique – images). du gris fumé au beige clair qui laisse filtrer une lumière
douce mettant en valeur les photographies de Julien Mignot, un jeune artiste de
talent.
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