La gastronomie est, aujourd’hui, comme la mode, il existe des
tendances. Paris n’échappe pas à cette règle, bien au contraire...
La bistronomie tient toujours le
haut du pavé. Lancée dans les années 90 par des grands chefs comme Yves Camdeborde
ou Christian Constant qui voulaient mettre la haute cuisine à la portée de
tous, cette néo-gastronomie a vu de nombreux jeunes pleins de talents
s’engouffrer dans cette vague porteuse et juteuse. Parmi les bistronomies les
plus courues du moment : Zébulon dans le 1er, L’Office et Richer dans le 9e, Bleu
Valentine et Clamato dans le 11e, Coretta dans le 17e, la Table d’Eugène dans
le 18e, etc.
Les grands chefs, encore eux, ont créé des annexes à leurs établissements pour offrir à la gastronomie étoilée la possibilité de se mettre à la portée du plus grand nombre. Dans l’empire d’Alain Ducasse, Aux Lyonnais donne rendez-vous aux amateurs de spécialités régionales revisitées tandis que Guy Savoy remet au goût du jour des plats tout simples dans sa rôtisserie L’Atelier de maître Albert. Yannick Alleno de son côté nous invite à découvrir les produits de l’Ile de France dans son Terroir Parisien et Eric Fréchon a pris le train de cette tendance en créant dans la gare Saint-Lazare une brasserie authentique prénommée Lazare.
Les grands chefs, toujours eux, ont aussi adopté le fast-good. Alain Ducasse, encore lui, a ouvert BE, une boulangerie épicerie qui sert des sandwiches, des soupes et des plats plus gourmands. Vincent Ferniot a fait appel à Anne-Sophie Pic, Christophe Michalak ou Gilles Goujon pour remplir ses Boco et Dominique Bouchet a ouvert Little B, un self-gastronomique.
On constate la montée en
puissance du bio, du vegan et du sans gluten. Les très en vogue Bob’s Kitchen
ou Potager du Marais déclinent, avec bonheur, les légumes sous toutes leurs
formes. Les food trucks ont encore leurs adeptes même si le marché commence à
arriver à saturation. Les cuisines étrangères continuent leur petit bonhomme de
chemin avec pléthore de japonais ou d’italiens mais certains jouent de plus en
plus la carte de la gastronomie.
Dans ce monde si divers il existe quelques monomaniaques qui vont du burger et rien que du burger à la volaille, rien que de la volaille mais de grande qualité comme au Coq Rico ouvert par Antoine Westermann. Chez Balls on ne fait que des boulettes et aux Truffes en folies les plats sont presque tous à base de truffes. Aux Pinces, le homard est à l’honneur et la mozzarella est totalement la reine chez Mozzachic. Enfin certains voient dans nos enfants de futurs grands gastronomes, aussi de plus en plus de menus sont élaborés spécialement pour eux en oubliant le steak frites et le jambon purée. L’équipe de Paris Resto a déniché pour vous de belles adresses tendances ou moins tendances dans tous les arrondissements. Et quelles que soient vos envies, bonne lecture et surtout bon appétit avec ce nouveau Petit Futé Paris Resto !
EN 2016, LE PETIT FUTE FETE SES 40 ANS...
C’est en 1976 que le tout premier Petit Futé a vu le jour à Nancy, sous l'impulsion de ses deux co-fondateurs alors étudiants : Dominique AUZIAS et Jean-Paul LABOURDETTE, et grâce à la générosité d’une poignée de commerçants nancéens dont certains, aujourd’hui encore, toujours fidèles !
Avec la Lexington, gracieusement prêtée par la Maison Olivetti - le premier barter de l’histoire du Petit Futé - les premiers textes ; les montages à la colle et au ciseau, etc. voient le jour petit à petit. Souvent impertinents, voire insolents, on pouvait alors dire et écrire n’importe quoi ou presque... Tels sont les premiers souvenirs du Petit Futé... Mais quels souvenirs !
Cette période glorieuse semble bien lointaine aujourd’hui face aux nombreux bouleversements intervenus ces 40 dernières années dans nos modes de vie, nos façons de communiquer, de consommer et de voyager mais également de penser et d’agir. 40 années parcourues tout azimut par un infatigable Petit Futé devenu aujourd’hui une marque connue et reconnue bénéficiant d’un capital fort de sympathie ; un acteur majeur de l’information et de la médiation touristique ; un pionnier de la communication digitale sur les marchés B2B et B2C et une entreprise de plus en plus largement tournée vers l’international.
Mais, du tout premier Petit Futé Nancy millésimé 1976 aux BOD (book on Demand) qui seront la grande nouveauté de cette année 2016, le Petit Futé n'a jamais perdu de vue ses fondamentaux. Quelques principes et valeurs simples, essentiels et indémodables qui l'ont constamment accompagnés parmi lesquels : un engagement dans la durée au service de l’entreprise ; l’envie permanente d’innover et d’aller de l’avant ; la confiance et la reconnaissance accordées à toutes celles et tous ceux qui participent – ou ont participé - à l’aventure commune du Petit Futé.
Dans ce monde si divers il existe quelques monomaniaques qui vont du burger et rien que du burger à la volaille, rien que de la volaille mais de grande qualité comme au Coq Rico ouvert par Antoine Westermann. Chez Balls on ne fait que des boulettes et aux Truffes en folies les plats sont presque tous à base de truffes. Aux Pinces, le homard est à l’honneur et la mozzarella est totalement la reine chez Mozzachic. Enfin certains voient dans nos enfants de futurs grands gastronomes, aussi de plus en plus de menus sont élaborés spécialement pour eux en oubliant le steak frites et le jambon purée. L’équipe de Paris Resto a déniché pour vous de belles adresses tendances ou moins tendances dans tous les arrondissements. Et quelles que soient vos envies, bonne lecture et surtout bon appétit avec ce nouveau Petit Futé Paris Resto !
EN 2016, LE PETIT FUTE FETE SES 40 ANS...
C’est en 1976 que le tout premier Petit Futé a vu le jour à Nancy, sous l'impulsion de ses deux co-fondateurs alors étudiants : Dominique AUZIAS et Jean-Paul LABOURDETTE, et grâce à la générosité d’une poignée de commerçants nancéens dont certains, aujourd’hui encore, toujours fidèles !
Avec la Lexington, gracieusement prêtée par la Maison Olivetti - le premier barter de l’histoire du Petit Futé - les premiers textes ; les montages à la colle et au ciseau, etc. voient le jour petit à petit. Souvent impertinents, voire insolents, on pouvait alors dire et écrire n’importe quoi ou presque... Tels sont les premiers souvenirs du Petit Futé... Mais quels souvenirs !
Cette période glorieuse semble bien lointaine aujourd’hui face aux nombreux bouleversements intervenus ces 40 dernières années dans nos modes de vie, nos façons de communiquer, de consommer et de voyager mais également de penser et d’agir. 40 années parcourues tout azimut par un infatigable Petit Futé devenu aujourd’hui une marque connue et reconnue bénéficiant d’un capital fort de sympathie ; un acteur majeur de l’information et de la médiation touristique ; un pionnier de la communication digitale sur les marchés B2B et B2C et une entreprise de plus en plus largement tournée vers l’international.
Mais, du tout premier Petit Futé Nancy millésimé 1976 aux BOD (book on Demand) qui seront la grande nouveauté de cette année 2016, le Petit Futé n'a jamais perdu de vue ses fondamentaux. Quelques principes et valeurs simples, essentiels et indémodables qui l'ont constamment accompagnés parmi lesquels : un engagement dans la durée au service de l’entreprise ; l’envie permanente d’innover et d’aller de l’avant ; la confiance et la reconnaissance accordées à toutes celles et tous ceux qui participent – ou ont participé - à l’aventure commune du Petit Futé.
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