Au cœur de la Corrèze, on peut découvrir l'empreinte laissée par les
ardoisiers depuis le XVIème siècle. Les Pans de Travassac ouvrent leurs
portes d'avril à novembre et partagent leur histoire et leurs secrets au cours
de visites guidées…
Ce site unique en Europe offre une promenade inédite et magique au milieu des à-pic de plus de100
mètres où se marient harmonieusement minéral et végétal.
Un voyage dans la tradition ardoisière, à la découverte de ce métier et
d’un savoir-faire ancestral.
Ce site unique en Europe offre une promenade inédite et magique au milieu des à-pic de plus de
La tradition se perpétue
fièrement par la nouvelle génération d’ardoisiers, qui font désormais découvrir
leur métier et ses secrets au cœur du site fascinant des Pans de Travassac,
l’une des dernières carrières en activité en France.
Parmi ces talentueux ardoisiers des temps modernes, Jean-François Bugeat un entrepreneur avant-gardiste reprend seul, en 1989, l’exploitation des ardoisières de Travassac et y ouvre un nouveau filon. Il réalise son rêve en 1997 en offrant au public la possibilité de visiter ce site naturel unique, façonné par l’Homme au cours des siècles. L’entreprise familiale compte aujourd’hui 12 salariés.
Sur le chantier, on observe le travail de l'ardoise. Un ardoisier y montre les gestes ancestraux (rebillage, clivage et taille), qui permettent de transformer la pierre en une ardoise à la réputation inégalée.
Parmi ces talentueux ardoisiers des temps modernes, Jean-François Bugeat un entrepreneur avant-gardiste reprend seul, en 1989, l’exploitation des ardoisières de Travassac et y ouvre un nouveau filon. Il réalise son rêve en 1997 en offrant au public la possibilité de visiter ce site naturel unique, façonné par l’Homme au cours des siècles. L’entreprise familiale compte aujourd’hui 12 salariés.
Sur le chantier, on observe le travail de l'ardoise. Un ardoisier y montre les gestes ancestraux (rebillage, clivage et taille), qui permettent de transformer la pierre en une ardoise à la réputation inégalée.
Le fruit de ces captivants
chantiers se retrouve sur les toits des maisons traditionnelles du pays, mais
aussi sur des chantiers régionaux comme le château de Hautefort, ou nationaux
comme l’Eglise du sacré Cœur de Rodez, le couvent des Augustines à Bayeux, le
couvent des Jacobins à Morlaix et le prestigieux chantier des toits de l’abbaye
du Mont Saint Michel et du réfectoire des moines qui est arrivé l’année passée
après 14 ans de travaux échelonnés. Jean-François Bugeat confirme donc que l’artisanat régional n’est pas prêt de
s’essouffler en France !
Quelques chiffres : • 7 filons ardoisiers à Travassac • Des pics vertigineux jusqu’à100
m de hauteur • Près de 2 000 m²
d’ardoises utilisées au Mont St Michel • 1 tonne de pierre ardoisière travaillée par jour et par artisan pour répondre
à la demande
Quelques chiffres : • 7 filons ardoisiers à Travassac • Des pics vertigineux jusqu’à
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