Le Belize enregistre une belle progression sur le marché français en
2017, avec 5 117 voyageurs, soit 21.7% de plus qu’en 2016 ; un
chiffre en augmentation constante depuis quelques années...
Malgré sa petite taille, le
Belize dévoile une combinaison fascinante de cultures et de paysages. Cap sur
une destination préservée du tourisme de masse, anglophone aux accents
afro-caribéens.
#1 – Pour être seul – ou presque – sur un site maya
Loin du tourisme de masse, le
Belize, petit pays de quelques 368 000 habitants, dévoile une quinzaine de
sites mayas très bien conservés. La principale différence avec les sites des
pays voisins, réside dans le fait que la fréquentation y est moindre, ou
comment être seul ou presque, à contempler l’histoire millénaire cette région
d’Amérique Centrale.
Parmi les principaux
sites mayas au Belize : Cerros et Santa Rita, au nord du
pays, près de la frontière mexicaine Altun Ha et Lamanai, au nord de
Belize City Caracol, Xunantunich, Cahal Pech et El Pilar dans
la région de San Ignacio, près de la frontière avec le Guatemala Lubaantun,
dans le sud du pays, qui serait le lieu de découverte du « crâne de
cristal » de Hedges
#2 – Pour « pimper » un voyage en Amérique Centrale ou aux
États-Unis, déconnecter et faire partie des Happy Fews
Le Belize est situé à deux
heures de vol de Miami et trois heures d’Atlanta donc propice à une extension
balnéaire pour ajouter une touche d’exotisme après un city-break arty à
Miami (par exemple). On visitera aussi volontiers le Belize après un séjour culturel
au Guatemala en passant par la région de San Ignacio, à la frontière
guatémaltèque.
Un séjour au Belize est synonyme
de déconnexion, en rupture avec le quotidien, où l’on privilégiera davantage un
échange sous-marin avec une tortue ou un lamantin du côté de Placencia ou
encore une balade pieds-nus dans le sable à San Pedro (Ambergris Caye,
« la isla bonita ») plutôt qu’une évasion via son smartphone – car
ici, peu de haut-débit ou de wifi.
#3 – Pour dormir chez Coppola
Promesse d’une expérience unique
et exclusive, 3 établissements de la marque The Family Coppola Hideways sont
installés au Belize : Blancaneaux Lodge : 20 cabanes, villas et
cottages implantés dans l’ouest du Belize (district de Cayo, région de San
Ignacio) au cœur de la réserve de Mountain Pine Ridge Forest Turtle Inn,
25 bungalows et villas en bord de mer à Placencia, dans le sud du pays
Le Seahorse Cottage, sur l’île
privée de Coral Caye pour une expérience hautement exclusive
Plus d’informations : www.thefamilycoppolahideaways.com/en/
#4 – Pour tester ses palmes le long de la seconde barrière de corail du
monde
Le Belize abrite la seconde
plus grande barrière de corail au monde (après l’Australie), protégée par
l’UNESCO. Au fil des cayes et du reef, on observe ici nombre
d’espèces marines : tortues, lamantins, requin-baleine, requins, dauphins
et autres poissons colorés. Le Blue Hole, joyau naturel du Belize, fait
rêver les plongeurs du monde entier. Large de 300m et profond de 120m, ce grand
trou bleu est surnommé la grotte verticale et se trouve au cœur de l’atollLighthouse
Reef.
#5 – Parce que le peuple du Belize est un melting-pot de
cultures : entre immersion dans la culture maya, initiation aux
percussions avec les Garifuna et rencontre avec la communauté Mennonite.
Dans le sud du Belize, berceau
des cultures Maya et Garifuna, le programme Maya Homestay Network propose des séjours chez
l’habitant dans les villages d’Aguacate, San Jose et Na Luum Ca.
Dans cette même région du sud, on
prendra volontiers un cours de percussions avec les écoles de drumming situées
àHopkins, Dangriga ou Punta Gorda. Lors d’un séjour au
Belize, on croisera probablement des Mennonites : venus du Mexique et
du Salvador au Belize lorsque le pays était encore le Honduras Britannique à la
fin des années 50, ils sont environ 12 000 à vivre au Belize aujourd’hui,
et suivent les codes de la communauté Mennonite, similaires à ceux des
communautés Amish.
Informations : www.travelbelize.org
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